Critique la Stratégie Ender, une bonne surprise

Synopsis

Les Doryphores, une espèce alien dont on ne connaît quasiment rien, ont attaqué la Terre.

L'espèce humaine repousse l'attaque massive de justesse grâce au sacrifice du brillant commandant et désormais légendaire Mazer Rackham.

Aujourd'hui, il est vitale de trouver un esprit aussi brillant que ce dernier. L'espèce humaine ne pourra pas encaisser une autre attaque.

Le colonel Graff est en charge de trouver parmi la population un esprit brillant qui pourra renverser le cours d'une bataille malgré une infériorité numérique certaine.

Ces espoirs sont fondés sur le jeune Ender mais celui-ci a beaucoup à apprendre, le temps manque et l'avenir de la race humaine est plus incertain que jamais.

Critique

Les films de science-fiction se suivent mais ne se ressemblent pas. La Stratégie Ender tire son épingle du jeu grâce à un univers solide et accrocheur.
Le réalisateur a su ne pas trop en faire pour nous livrer un bon petit film de SF comme on en fait que trop rarement. On a un bon dosage entre histoire et effets spéciaux.
L'histoire d'Ender, jeune prodige qui a le sort de l'humanité entre ses mains est prenante au point que le quasi deux heures passent comme une lettre à la poste!
On observe au fur et à mesure le jeune adolescent évoluer au cours de sa formation militaire de stratège, dévoilant aux spectateurs ses tactiques plus ingénieuses les unes que les autres.
Le scénario m'a rappelé l'histoire des livres Halo, où de jeunes enfants sont recrutés pour être entraîner comme des soldats purs et durs. Ender se place exactement dans le même état d'esprit. Amitié, rivalité, tactique... on s'accroche rapidement au personnage central.

Le film s'appuie d'ailleurs sur un jolie casting, qui l'air de rien, envoie du lourd! Ender est joué par Asa Butterfield alias Hugo Cabret donnant le ton juste à son personnage entre fragilité et détermination. L'acteur est littéralement taillé pour le rôle. Il est accompagné par Hailee Steinfeld (True Grit) qui rempli bien son second rôle. Les jeunes acteurs sont épaulés par le grand Harrison Ford placé un peu trop en retrait. Son personnage manque un peu de dureté militaire dans son rôle de mentor avec Ender. Sir Ben Kingsley est également de la partie mais on ne l'aperçoit que tard dans le film. Peut être aura-t-il un rôle plus important dans une éventuelle suite?

La Stratégie Ender propose des paysages magnifiques et se place à la hauteur des gros blockbusters sans trop en faire. Les effets spéciaux sont maîtrisés et soignés.
Le film reste adressé à un jeune public mais il plaira aux petits et grands sans aucun soucis (chose plutôt rare).
Le seul vrai défaut, c'est le choix de certaines parties du film en image de synthèse sous forme de jeu vidéo interactif. Le résultat est assez étrange, on a du mal à voir où veut en venir le réalisateur sur ce coup là.

La Stratégie Ender est une bonne surprise cinématographique qui bénéficie d'une excellente photographie allié à un scénario prenant. Un film de science-fiction à voir sur grand écran comme tout ceux du genre qui en valent le coup.


17/20

Le lendemain de la projection, blogueurs et journalistes se sont affrontés lors d'un tournoi organisé par la Metropolitan FilmExport. En parallèle, des recrutements à coup de parties de laser game se sont faits à travers la France pour une ultime finale qui permettait au gagnant de gagner un vol en apesanteur. Heureusement, je n'ai pas eu à affronter ces vrais pros du laser gaming. 

Pour le coup c'est quasiment du sport après quatre sessions, j'en menais pas large. 

Dans un premier temps, tout le monde s'affrontait en mode chacun pour soi pour permettre d'établir une sélection pour trois équipes équilibrées. J'ai été classé 4éme puis mon équipe a remporté deux parties sur lesquels j'ai été classé premier.
A la fin, parce qu'il ne devait en rester qu'un, les membres de l'équipe se sont affrontés entre eux. J'ai réussi à me hisser à la première place de justesse face à l'ami Legolas à 150 points. Autant dire que ça c'est joué à vraiment pas grand chose puisque un impact sur le torse faisait 100 points, un dans le pistolet 300!
J'ai donc remporté de très beaux lots avec les Blu-Ray The Master, l'intégrale de Bruce-Lee, Hunger Games avec son jet moqueur de Katniss Everdeen.
Tout le monde est reparti avec un bouquin dont le film est une adaptation que je n'ai pas eu le temps de lire pour vous faire une comparaison. Mais je compte bien m'y mettre!

J'ai également remporté un super Tee de Riddick et les répliques de ces lunettes. 

Parce que je suis prêt à tout pour toi ami lecteur, voici une p'tite photo... Comment ça il manque les muscles? 

                                               

Partager sur Google Plus