E3 2014: Dying Light, fluidité, combativité et steak haché

Dead Island 2 a été officialisé mais en attendant, les créateurs de la série, les petits gars de Techland, bossent sur Dying Light!
Au premier abord, on a vraiment l'impression d'avoir l'évolution logique d'un Dead Island.
On est amené à évoluer dans une ville avec de très nombreux building. Pour cela il est possible de grimper aux immeubles à la Assassin's Creed. Pour être plus rapide, on peut utiliser un crochet à la Batman.
De jour, on affronte des zombies réguliers ou des humains. C'est le moment de se la jouer tactique en tirant quelques balles sur le baril explosif juste à côté des pillards. Les monstres attirés par le bruit se jettent sur eux. Néanmoins, en faisant trop de bruit, on risque aussi d'en attirer sur soi.

La ville possède un cycle jour/nuit ainsi que des effets météorologiques. Si de jour, on est le chasseur de zombies, de nuit... c'est autre chose. Le jeu même est orienté vers la dualité jour/nuit. On se prépare, on loot ce que l'on peut pendant la journée pour survivre pendant la nuit.
Le cycle présente également un avantage stratégique: si parfois, un poste à sécuriser est imprenable, il est préférable d'aller faire un somme pour attendre la nuit. Car même la nuit, les groupes les plus armés n'osent pas s’aventurer. Des monstres plus forts et quasi-imbattables surveillent les rues.

Etant partiellement infectés, on peut les détecter ainsi que leur champ de vision. Le gameplay passe donc d'action à infiltration. La météo peut vous jouer des tours: l'obscurité vous cache mais en cas de pluie avec des éclairs, on se retrouve exposé pendant quelques secondes. La pression monte donc.
Le déblocage de la ville se fait étape par étape en suivant le scénario mais il sera possible d'explorer les zones débloquées sans soucis.
On ne peut s'empêcher de relier le Dying Light avec Dead Island mais honnêtement, Techland semble avoir bien travaillé son jeu.
                               
                                     

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