de chez Razer!
Pour les personnes qui ne connaissent pas Razer, c’est une entreprise américaine fondée en 1998, qui n’a qu’un but: produire les meilleurs périphériques de jeu sur PC. Leur devise ? "For Gamers by Gamers".
Nous avons donc un clavier aux touches mécaniques switch made-in Razer. Qu’est-ce que ça veut dire ?
Les touches mécaniques sont chacune reliées à un petit capteur, qui émet un son particulier (un clic tout sauf discret). Niveau sensations de frappe, c’est quelque chose de particulier: on sent une très légère résistance à la frappe, et surtout on sait que la commande a bien été prise en compte par le périphérique ! Ça demande un temps d’adaptation, mais c’est un vrai régal, de mon point de vue. Ces fameux switches permettent une réactivité tout simplement excellente, sans compter un espacement et un emplacement des touches vraiment satisfaisant.
Le clavier est tout de noir vêtu, avec un revêtement plutôt agréable au toucher. Gare toutefois aux traces de doigts, car l’effet mat a tendance à les mettre en valeur.
Au niveau des touches, la lueur LED du vert si particulier à Razer rend superbement bien. Fini l’éclairage approximatif qui se diffuse, tout le clavier s’illumine, avec une visibilité excellente tant dans la pénombre qu’en plein jour ! Et ça c’est un gros plus.
Les patins arrières, plus le poids du clavier en font un accessoire très stable, ce qui est agréable. Rajoutez à cela un encombrement plus que correct (45 cm x17,1 cm et 2cm d’épaisseur) sur les plus petits bureaux.
Razer a longtemps proposé des drivers uniques à leurs différents produits, ce qui ne facilitait pas forcément la tache lors des mises à jour. C’est désormais derrière eux avec le logiciel Razer Synapse, qui permet d’avoir une seule application pour gérer les différents produits Razer connectés (casque, souris, tapis de souris …).
C’est par ici qu’on gère les différents modes d’illumination du clavier, mais aussi la programmation des macros. J’ai énormément aimé le mode "Respiration", qui fait s’allumer le clavier progressivement comme lors d’une inspiration, puis qui s’éteint doucement. On regrette juste de ne pas avoir plus de couleurs, c'est qu'on s'habitue vite à la gamme Chroma.
Si les performances du Blackwidow Ultimate 2016 sont excellentes, on peut tout de même se demander si cette nouvelle version est vraiment intéressante.
En effet, on oublie les touches de macros dissociées du clavier, le port USB présent sur le clavier est toujours en USB 2. 0 (on est en 2016 tout de même, l’ère du 3.0 est là !) et le port casque qui devient justement un autre port jack unique 3.5mm (ceux avec des casques à sortie micro/audio dissociée vont être déçus).
En effet, on oublie les touches de macros dissociées du clavier, le port USB présent sur le clavier est toujours en USB 2. 0 (on est en 2016 tout de même, l’ère du 3.0 est là !) et le port casque qui devient justement un autre port jack unique 3.5mm (ceux avec des casques à sortie micro/audio dissociée vont être déçus).
Comptez 130€ pour ce clavier, mais pensez aussi que pour une dizaine d’euros de plus, vous aurez accès au Blackwidow Chroma, qui lui apporte un gros plus: l’éclairage mutlicouleur purement sublime !
Si dans le fond, le Blackwidow Ultimate version 2016 convainc par ses atouts, il n’est pas forcément non plus un clavier qu’on attendait. Son prix est clairement trop élevé puisque Razer même propose des claviers à un prix quasiment équivalent et qui propose plus de fonctions d'éclairage... Réservé aux nostalgiques avant tout!
LTPatterson,comment ouvrir le port micro de la Razer,en cas de jeux multijoueurs ?
RépondreSupprimerDe mémoire, il faut le connecter le jack de l'USB sur la prise micro et le définir sous Windows.
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