Prévu pour le 22 Février 2019, Metro Exodus était l'une des grosses exclusivités de Kochmedia sur le salon. Après les très sympathiques Metro 2033 et Metro Last Light, j'ai une certaine attente autour de la suite qui m'a déjà fait rêver à travers ses trailers et démo à l'E3.
Je ne m'y attendais pas vraiment mais Metro Exodus est un monde ouvert contrairement à ses prédécesseurs. Et mine de rien, il s'agit d'une difficulté supplémentaire pour s'orienter puisque les Metro sont dénués de carte sur l'ATH.
Le jeu se veut réaliste au maximum, il faut donc sortir sa carte (le jeu n'est pas en pose pour autant) et s'orienter. Heureusement, notre position reste affiché.
Les développeurs ont en tout cas fait du très très bon travail sur le moteur qui affiche un environnement détaillé sans pour autant observer le moindre petit lag.
Sur les armes à feu, les munition viennent très vite à manquer, situation typique des jeux Metro. Il faut que chaque balle compte. L’arbalète tire au coup par coup mais élimine l'ennemi en une seule fois.
Le premier combat avec un clan local est assez difficile à gérer. Je me suis retrouvé à 12 contre un et tous avait des arbalète. Heureusement, que ce n'était pas un tir/un mort en ce qui me concerne. Mais en étant touché deux fois on est déjà mis en difficulté. Je me suis retrouvé contraint à me montrer très mobile pour affronter les ennemis au corps à corps.
On peut tout faire en mode discret mais il y a plein de petits pièges qui visent à vous faire repérer comme des conserves suspendus à un fil.
Il faut également savoir que la jauge de vie ne remonte pas toute seule comme par magie. Il faut penser à se soigner. Cela fait peut être old school mais perso j'aime bien et ça rajoute de la crédibilité à l’ambiance qui se veut réaliste tout en donnant un côté tactique.
Il va falloir patienter un peu mais Metro Exodus promet de belles choses si l'ensemble du jeu est aussi bien peaufiné que la démo.
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