On commence les reviews des jeux vus à
la Gamescom avec en premier lieu Chernobylite développé par le
studio The Farm 51.
Le jeu se déroule de nos jours, dans
la zone d’exclusion de Tchernobyl où 30 ans après la catastrophe
un scientifique retourne sur les lieux de l’incident accompagné de
deux mercenaires afin de retrouver sa femme portée disparue à
l’époque des faits.
Dès le début de la démo l’ambiance est instaurée : zone
d’exclusion de Tchernobyl, militaire présent sur les lieux pour
neutraliser tout intrus, présence de radiations, flashbacks de
l’époque de l’incident. On comprend tout de suite que l’aventure
ne sera pas enfantine.
Peu après avoir pénétré dans le complexe, notre héros trouve une matière appelé chernobylite, qui se présente sous forme
de cristaux verts produisant une énergie sans limite et permettant
d’ouvrir des portails dimensionnels. Il explique aux mercenaires
que c’est de cette façon qu’il compte retrouver sa femme.
Cependant il n’a pas le temps de finir ses explications qu’un
homme muni d’un masque à gaz sort de l’un de ces portails,
blesse un mercenaire à la jambe et tue l’autre. N’ayant d’autres
choix que de fuir, les deux personnages restants passent à travers
un portail pour échapper à ce mystérieux assaillant.
Une fois sain et sauf, les mécaniques de jeux commencent à nous
être expliquées: crafting présent à des fins
d’améliorations d’équipements et de campement, ressources à
ramasser sur les différents territoires à explorer, nos alliés
peuvent aussi être envoyés en missions sur la carte afin d’acquérir
de l’expérience et des ressources. Chaque personnage envoyé en
mission peut mourir durant celle-ci, ce qui n’affectera en rien la
trame principale de l’histoire.
La démo s’arrête ici après avoir terminé de nettoyer le camp de
fortune dans lequel le joueur s’installe et après avoir activé
une radio.
Le jeu développé sur l’Unreal Engine 4 ne paye pas de mine mais les graphismes restent assez impressionnants, la jouabilité est parfaitement
fluide avec des effets de réalismes plutôt convaincants. L’alliance
entre survival horror et les éléments de jeu cités plus haut est
inattendue mais attire a su attirer ma curiosité sur ce titre.
Chernobylite est prévu pour la fin de l’année 2019 sur PC, PS4 et
Xbox One.
Dans la démo qui
nous a été présentée, nous incarnions un garde forestier qui
après être retournée chez lui et avoir trouvé sa femme morte
(assassinée ?), se fait agresser par un homme à la force
surhumaine et perd connaissance. Une fois ses esprits retrouvés,
l’homme prend la fuite dans la forêt et doit se frayer un chemin à
travers les zombies qui nous barrent la route, rien d’insurmontable
une fois le shotgun et quelques munitions trouvés dans les
différents décors. À la manière d’un RE, il faudra aussi jouer
avec les déplacements des ennemis afin de les contourner et
d’économiser ainsi des munitions pour des monstres plus
redoutables. Ici pas de héros invincible, quelques morsures vous
mèneront à une mort certaine.
La démo se finit sur une énigme
divisée en trois parties, ici aussi on retrouvera l’ambiance d’un
RE, le jeu étant coupé entre phase de combats, d’exploration et
d’énigmes tel un survival horror digne de ce nom.
Daymare 1998 sortira le 17 septembre
2019 sur Steam et plus tard dans l’année sur PS4 et Xbox One.
Chaque personnage en plus de ses caractéristiques a son filtre à l’écran, ainsi le personnage sourd verra le monde tel qu’il existe mais le personnage aveugle verra le monde en blanc et ne distinguera que le contour du chemin et des obstacles lorsqu’il avancera et tâtera le sol de son bâton.
La démo fût assez courte et je n’ai pas pu en savoir plus sur l’intrigue mais le jeu tire clairement son inspiration de titres tels que Beyond Eyes, Rime et Brothers : A Tale of Two Sons.
La sortie est prévue pour automne 2019 sur Steam.
Par @Rainbow_Clarke
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Une envie de réagir? Fais toi plaisir!