Le pilote Pete Mitchell alias Maverick travaille toujours pour l'armée américaine. Cela fait plus trente ans de service, il aurait pu monter en grade, devenir amiral mais la place de Maverick est en haut dans le ciel. Mais tout le monde ne l'entend pas ainsi et certains cherchent à le pousser à la retraite. Son programme expérimental est fermé mais Maverick est appelé à Top Gun pour former les meilleurs pour ce qui ressemble à une mission suicide. Dans le lot, le fils de son défunt meilleur ami et navigateur Goose...
Le coup de génie sur ce film réside au niveau de la réalisation. En 2022, à l'heure des effets spéciaux boostés à coup de CGI bluffant de réalisme, ici on utilise que de l'authentique.
Tom Cruise a littéralement appris à piloter ou encore à encaisser les G dans la tronche sans broncher comme tout le reste du casting qui joue les pilotes. Et le résultat vaut clairement la chandelle. Les images cockpits sont exceptionnelles et contribue grandement à l'immersion. Alors qu'on aurait pu penser avoir tout vu, spécialement aujourd'hui, on est agréablement surpris d'embarquer à bord des avions de chasses de F-18.
Niveau casting, seul Val Kilmer rempile ici en guest et malgré son état de santé. Pour les nouveaux, c'est le très doué Miles Teller qui incarne le fils de Goose assurant ainsi la relève. Jennifer Connelly incarne la "fille de l'amiral" à qui il est fait allusion dans Top Gun. Pour les rôles plus secondaires, on a Jon Hamm, Glen Powell, Leewis Pullman, etc..
Top Gun: Maverick est un par définition un film pensé pour le grand écran. Et clairement, il vaut le détour rien que pour ses images somptueuses. Pour le reste, l'émotion est là même si on est sur un film orienté action.
17/20
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